Dans une récente enquête, le magazine d’investigation Médor a posé une question fondamentale : au nom d’un regain d’efficacité administrative et d’une quête du risque zéro terroriste, quelles données sont recueillies quotidiennement par l’Etat - et plus spécifiquement par la police - sur chaque citoyen belge ? Comment ? Quel impact cela peut-il avoir sur nos vies, même sur celles de ceux qui n’auraient “rien à cacher” ? Et comment garantir un contrôle démocratique de leur usage ?