Ces dernières années, l’activisme des groupes militants issus de la diaspora africaine a mis sur le devant de la scène politique et médiatique la question du passé colonial belge, portant l’exigence de la réparation des torts coloniaux. Que signifie cette exigence de réparation, quels en sont les objectifs et les implications ? Comment s’exprimerait un seuil de réparation satisfaisant ? Quelles transformations sociales, politiques et économiques sa mise en place exige-t-elle ?