La surveillance électronique : la peine (à) demeure
L'assignation à résidence sous surveillance électronique (ex. le « bracelet ») dilate les frontières de la pénalité qui se diffuse dans le corps social tout en restant lourdement ancrée dans une logique d'enfermement. Mais les objectifs promus sont-ils atteints ? Comment les principaux concernés et leur entourage vivent-ils cette injonction à vivre sa peine « au sein des murs de l'intimité »? Quels modèles de peines pour demain ?
Avec Marie-Sophie Devresse (Professeur de criminologie - UCL, recherche sur l'évaluation de la surveillance électronique des condamnés, 2006), Jean-Charles Froment (Professeur de droit public et directeur du Centre d'Etudes et de Recherche sur le Droit, l'Histoire et l'Administration Publique, co-directeur de l'ouvrage collectif Justice et technologies. Surveillance électronique en Europe, PUG-CERDAP, 2007) et Pierre Reynaert (ancien directeur du Centre National de Surveillance Electronique).
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